Quand demander une réduction mammaire ?

Certes, avoir de gros seins présente un avantage majeur, car il s’agit d’un atout de séduction. Toutefois, lorsqu’ils sont très volumineux, ils peuvent être la cause d’un complexe et d’une gêne physique. La réduction mammaire est un acte réalisé par un chirurgien qualifié permettant de réduire le volume des poitrines. Dans quels cas recourir à cette opération ?

Quand recourir à une réduction mammaire ?

Pendant une opération de réduction mammaire, le médecin est souvent amené à retoucher le volume et l’aspect général des poitrines. En fonction des résultats attendus, il peut aussi remonter les seins, modifier la taille des aréoles ou remodeler les seins dans l’objectif d’améliorer la forme. Les patients ont souvent recours à cette intervention lorsque les poitrines sont source de gêne physique ou de douleur dans le quotidien. On parle d’hypertrophie des seins. En effet, lorsqu’elles sont trop imposantes, elles peuvent entrainer des douleurs dorsales et cervicales et gêner dans ses mouvements. Au fil du temps, cela peut engendrer des problèmes de posture. Dans ce cas, il s’agit d’une « chirurgie réparatrice ». On tient à noter que les frais sont pris en charge par la

Les tissus autour des seins perdent aussi en élasticité et en fermeté au fur et à mesure. Pour leur donner une apparence plus ferme, le recours à la chirurgie esthétique est incontournable. En faisant appel à un praticien qualifié, il est d’ailleurs possible de retrouver son aspect de jeunesse. Faites un tour sur docteur-rousvoal.com pour davantage d’informations.

Quelles sont les précautions à prendre ?

L’arrêt du tabac est obligatoire 3 semaines avant le jour J et 4 semaines après l’intervention. En effet, le tabagisme peut augmenter les risques de complication et retarder la cicatrisation. De même, évitez de prendre des médicaments contenant de l’aspirine 10 jours précédant l’opération. La réduction mammaire est réalisée sous anesthésie générale. Il faut donc prévoir une période de convalescence jusqu’à 3 semaines pour récupérer rapidement. L’hospitalisation dure en général entre 3 à 4 jours et la cicatrisation se fait entre une à deux semaines. Par conséquent, il est déconseillé d’exposer les poitrines aux agressions extérieures : rayon UV, humidité. En bref, évitez le soleil (pendant 1 an), les baignades, les activités sportives et le port de charges lourdes qui peuvent retarder le processus de cicatrisation. Le bain est également interdit pendant 1 semaine. Par contre, pour améliorer l’aspect de la cicatrice, appliquez une crème hydratante tous les jours. Si vous pratiquez du sport, patientez jusqu’à 4 semaines avant de reprendre les entraînements.

Quels sont les risques postopératoires ?

Après l’opération, la prise d’un antalgique permet de calmer les douleurs. Les ecchymoses et l’œdème sont aussi très fréquents. Néanmoins, ils disparaissent progressivement au bout de quelques jours. Le port d’un soutien-gorge sans armature est aussi indispensable dès la sortie de l’hôpital. Cet accessoire doit être porté jour et nuit pendant 6 semaines. En outre, il faut réaliser un pansement au moins deux fois par semaine. Les écoulements sont normaux. Cependant, il faut consulter rapidement s’ils s’accompagnent d’une odeur nauséabonde ou sont trop abondants. Et en cas d’infection, il faut prendre un traitement antibiotique. Dans les cas les plus graves, un drainage chirurgical peut s’avérer nécessaire. L’hématome en revanche demande un geste d’évacuation. La cicatrice hypertrophique requiert également un traitement local sur le long terme afin d’améliorer son aspect esthétique. La perte de sensibilité est aussi assez courante. Toutefois, la patiente retrouvera ses sensations normales au bout de 6 à 18 mois. La nécrose de la peau était auparavant un effet indésirable très courant. Mais avec les techniques modernes, les risques sont de nos jours minimes. De ce fait, afin d’optimiser les chances de réussite de l’opération et réduire les risques postopératoires, faites appel à un chirurgien compétent et expérimenté maîtrisant parfaitement les méthodes récentes.

Réduction mammaire : comment bien choisir son chirurgien ?

Il est très important de choisir un chirurgien plasticien qualifié pour prendre en main l’opération. Pour trouver le bon, vous pouvez vous appuyer sur sa réputation et son savoir-faire. A priori, il doit avoir un diplôme en chirurgie plastique. De même, son nom doit figurer dans la liste des chirurgiens spécialisés en chirurgie reconstructrice et esthétique établie par le Conseil National de l’Ordre des Médecins. Vous pouvez également faire des recherches sur Google pour avoir des retours d’expérience. En outre, il est recommandé de regarder ses précédentes réalisations. Exigez des photos avant et après chaque opération pour avoir un premier aperçu sur le rendu obtenu. Vous pouvez aussi choisir un praticien en prenant en compte son lieu d’exercice. Un expert en réduction mammaire à Bordeaux par exemple est à privilégier si vous habitez dans la région ou dans les alentours. En cas de problème, vous n’aurez pas à prendre l’avion pour bénéficier d’un suivi adéquat sur le long terme. Par ailleurs, il est plus judicieux de faire appel à un chirurgien spécialisé en réduction mammaire doté d’une solide expérience dans ce domaine. Les risques seront ainsi minimisés. Enfin, il est préférable de demander plusieurs avis avant de vous lancer afin de prendre connaissance du budget moyen à prévoir et des différentes solutions envisageables pour obtenir le résultat tant attendu.

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